Editorial
Filmographies
Le coin fantastique
Mail
Liens

 

Nous finirons ensemble
Budget = 16,3 M€
BOX OFFICE France = 5 816 / 370 391 - 1 262 000 - 2 801 000 entrées
BOX OFFICE USA = - M$
BOX OFFICE Monde = 23,4 M$
 

Suite des Petits mouchoirs.
Autant l'avouer tout de suite : je n'ai que peu de souvenirs du premier segment -ce qui n'a rien d'un jugement qualitatif- et n'ai nullement révisé avant de découvrir celui-ci.
Ceci dit, ce Nous finirons ensemble n'est pas de ce genre de film qui vous happe dès les premiers instants : j'ai plutôt trouver qu'il restait nonchalant et ne parvenit pas à relancer assez rapidement notre intérêt.
Max (F. Cluzet) est fatigué, ses potes qu'il n'a pas revu depuis 3 ans lui font une surprise en venant fêter son anniversaire chez lui, dans cette maison emplie de souvenirs : l'histoire patine à force de refuser de développer quoique ce soit de palpable et la mise en images ne peut que difficilement mettre de l'énergie dans cette chronique trop commune qui va forcément finir en love stories. On pourra cependant y piocher à droite et à gauche, au sein de bons gags et de bons moments, d'une sauce qui prend parfois, de prestations d'acteurs irréprochables (mention spéciale à la Nounou et à Antoine ; même V. Bonneton est... surprenante), d'une bande son de fou, de personnages qui évoluent le plus naturellement du monde et d'une très belle scène de fin (même si attendue). En réalité j'ai eu tout le mal du monde à rentrer dans l'histoire et n'ai pas assez ressenti de cette émotion qui était la marque de fabrique du 1er opus. Aussi agréable soit-il, cela aurait dû être transcendé scénaristiquement.
Nous finirons ensemble est un incroyable show "F. Cluzet" : personnage au bout du rouleau qui tente de retrouver un peu de joie de vivre auprès de ceux qu'il aime, meilleur atout d'un film qui parle des échecs de nos vies ; un film qui aurait pu, qui aurait du me toucher au plus profond.
Après le décevant Rock n' Roll, difficile de ne pas avouer que je préfère nettement Canet aux manettes d'un thriller (cf. Ne le dis à personne ou encore Blood ties) plutôt que dans la comédie douce amère.

La critique des internautes
 

 

NOTE : -/20

-