Franck Drebin rend hommage au Cuirassée Potemkine et commence en fanfare : il n'en faut guère plus pour me ravir !
Cette fois nous allons à Hollywood... ah ben non : pas avant l'ultime scène... Donc : après avoir assisté au générique le plus réussi de la saga ainsi qu'à la retraite de Franck, nous (re) découvrons un épisode prometteur où le froncement de sourcils s'impose une nouvelle fois, dans un épisode cette fois-ci bien inspiré.
Les gags sont très variés et matchent aisément, s'enchaînant sans temps morts, avec un grand souci du détail, plus volontiers orientés vers la parodie.
Un épisode que j'affectionne tout particulièrement.