Cobra : résoudre la violence par la violence.
Dans une Amérique déjà ultra violente, une fusillade éclate dans un supermarché et Sly / Cobra intervient.
Production Golan-Globus très facilement réactionnaire, expéditive et borderline, si ce n'est son engagement insistant et pesant, ses bad guys excessivement caricaturaux, Cobra ressemble à un épisode de série TV. Comme si cela ne suffisait pas, le scénario tue l'intrigue dans l'oeuf, ne ménage aucun suspens et tourne, avec le recul sans doute, à la parodie (les dialogues sont monumentaux), de même que Cosmatos emballe tout ça sans passion. Un gros nanar bien juteux dont on ne retiendra que la chanson culte.
On comprend mieux aujourd'hui les engagements de Stallone pour l'écurie Trump...
