Bien sûr on retrouve cette structure propre à 90 % des B-movies (un groupe isolé, une découverte, des meurtres, un combat, une happy end pleine d'explosions : merci The thing), mais on s'y engouffre, absorbant acteurs approximatifs, dialogues neu-neu et FX pas chers... pour, comme toujours, retombé, après l'espoir que nous donne le scénariste (bon suspens avec sa matière mystérieuse), et reprendre le droit chemin de la banalité et de la stupidité.