Editorial
Filmographies
Le coin fantastique
Mail
Liens

 

La maison des damnés

John HOUGH
(8-9)

Ce produit bien léché joue, dans un premier temps, la carte du rationnalisme et du réalisme visuel et scénaristique (enfin on l’imagine). La réalisation est d’un très haut niveau tout comme la bande son ; Pourtant tout n’est pas parfait car, justement, on ne croit pas toujours en cette série B, très 50’s et remake assez pauvre : l’incursion de la machine, le final simpliste et vite expédié ou les explications modestes sont bien loin du classique de Wise. Il n’est qu’à la hauteur de nos maigre espérances.