Un écrivain obsédé par la maladie multiplie les examens et commence à réfléchir sur la fin de vie des patients gravement atteints, ainsi que sur les soins paliatif.
Le dernier souffle propose une 1/2 heure de cours de médecine, de réflexions médico-philosophique, même si Costa gravas y met les formes, le film est étouffé de dialogues particulièrement monotones, pour autant sérieux et de haute volée.
Il y a quelques moments de respiration mais le scénario continue de réciter, voir de rabâcher inlassablement, sans grande émotion ; ni larmoyance.
Il est clair que, par les temps qui courent, ce n'est pas ce dont les spectateurs avaient envie de voir au cinéma, mais il y avait certainement une autre façon de raconter tout ça.