Kore-Eda poursuit son exploration de la famille japonaise : 
                  mais il oublie (volontairement) cette fois l'essentiel, à 
                  savoir un scénario structuré et évolutif 
                  pour impliqué le spectateur. On y parle donc de famille, 
                  de tradition ; histoire de jeunes femmes et histoires familiales 
                  croisées, mais l'exercice est un peu rigide, doux mais 
                  lent, coulant comme la banalité d'un quotidien et tournnt 
                  quelque peu en rond autour des mêmes thèmes, sans 
                  dramaturgie aucune. C'est une bien fade chronique...