My sweet Pepperland explore un pays en reconstruction sociale et politique après une guerre (le Kurdistan), l'auteur film avec grâce la beauté des paysages mais est un peu inexpressif quand il s'agit de scènes plus intimistes. Dans l'humour on ressent comme des relents "kusturiciens". Ce Pepperland est composé autant de traditions archaïques que de corruption, d'amour et de luttes pour le pouvoir ; et de ce côté ça sent le réchauffé, à la sauce kurde certe, mais un plat réchauffé à base de bons vieux westerns (le shérif récemment nommé, les hors-la-loi qui veulent dominer la ville, la belle institutrice, les paysages désertiques et parfois même la musique). A voir.