Tous le travers du mauvais cinéma hexagonal :
- Un prétexte original (le carnaval… mais si : cette fête antediluvienne de beaufs-fromage-baguette-bérêt avec pleins de chansons débiles… non, je suis méchant !).
- Un scénar maigre comme un court (un homme tombe amoureux d’une femme mariée qui lui accordera un peu de temps… avec rien pour nous surprendre).
- Un réalisateur qui regarde passivement son spectacle sans partie pris visuel ni personnalité ; ennui garanti.
- Des acteurs théatraux et pseudo réalistes qui nous obligent à décrocher.
- Une photo, d’habitude crade, ici juste correct.
En clair, le spectateur moyen, l’artiste sensible et le technicien confirmé s’emmerderont grave…