The incredible Burt Wonderstone où la naissance et la vie de 3-4 magiciens. Un certain regard critique sur le star system de Las Vegas qui s'avère vite lourdingue et ronflant, même si quelques rires traversent l'écran. C'est alors que J. Carrey vient exploser ce petit monde volontairement formolé en devenant l'expression vivante de la magie spectaculaire et extrême, abusant de la surenchère. Mais pour ceux qui seront patients la seconde partie réserve de bonnes surprises : un Carrel qui excelle dans sa "nouvelle vie", un discours sur le retour à l'essence de la magie, de bons rires et un Carrey... égal à lui-même et plutôt savoureux. Bilan mitigé, donc.