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Un chien andalou

Luis BUNUEL
(17-18)

Je l’admet : j’ai pas tout compris de ce que l’auteur a voulu exprimer avec son histoire de désirs sexuel, d’âne mort sur un piano et d’œil coupé au rasoir et en gros plan. Mais il est indéniable que Bunuel a réalisé son film avec beaucoup de passion et de recherche visuelle (changement de plan et angulation) et puis l’atmosphère permet au spectateur d’être initié dans un univers hors norme et dingue. A chacun de l’interpréter. Apogée, seule et unique pure représentation cinématographique du mouvement surréaliste, ce film est le reflet d’une époque hypocrite (plus qu’une autre ?)