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Le portrait de Dorian Gray

Glenn JORDAN
(4)

La forme tout d’abord : du théatre filmé qui, à force de gros plans, devient étouffant, qui, à force d’abscence de partie-pris esthétique, devient anonyme voir laid. Et ce n’est pas le jeu classieux des acteurs qui relèveront ce niveau de classicisme éhonté pour une œuvre si moderne. Il ne nous restera plus qu’à chercher trace de cet excellent roman originel et fort peu mis en valeur : ptférez la lecture à ce pénible, insipide et transparent exercice.