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La morte-vivante

Jean ROLLIN
(4)

Sacré J. Rollin ! Il fémininise le genre pour taper dans le Z le plus extrême, sa réalisation figée ou branlante en témoigne, le gore gerbeux et mal fichu (Lestang ? ? !), ses obsessions sexuelles, ses scénarios au minimum syndical agrémentés d’acteurs rigolos. Mais cette fois on a l’impression qu’il se prend au sérieux (une ébauche homéopatique de psycho post-mortem, le film fonctionne quelques minutes…). Mais pas d’affolement : c’est bien du Z, ça prend vite la tête, même si, dans le néant, une lumière, un petit flash éclaire le personnage de remords et de question. Avec un minimum d’effort.