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Journal intime d'un vampire

Ted NICOLAOU
(3)

Un parent pauvre… dialogues pauvres, pas d’imagination, musique de série, même le réalisateur peine à créer quelque chose. A peine si l’espace d’un plan, d’un décor (les lieux du tournage en fait) sort-on de la torpeur que nous inspire ces acteurs pitoyables et ces effets ratés. Très pauvre.