L'étoile
du silence |
Kurt MAETZIG |
(3) |
De la série B (Z ?) hautement farfelue et naive,
au budget suffisemment anémique pour en faire un summum du kitsch
: jamais décor n’aura plus ressemblé à du carton,
ni combinaison à un pyjama, ni robot à une boite, ni le
langage scientifique à du charabia ridiculo-comique-involontaire.
Les dialogues sont aussi nombreux que barbants et on a décidément
beaucoup de mal à s’intéresser à ces vénusiens
atomique au travers de ce navet cosmique, lent, pénible et terriblement
ringard. |