Elvira,
maitresse des ténêbres |
James SIGNORELLI |
(8-9) |
Jim Carey au féminin se disait Elvira…
Certes le délire est gros, gras, lourd et pesant, le réalisateur
et la comédienne ont disparu depuis longtemps, mais les jeux de
mots sont cocasses et participent à l’ambiance « anti-conformiste
». Une comédie de potache sans prétention sinon celle
de secouer le cocotier du politiquement correct. Parodies, clins d’œil,
folies, cinéphilie B et lourdeurs . |