Tout Jean Rollin. Une atmosphère baroque, une idée (les vampires sont aveugles le jour), un scénario approximatif et guère géné par les erreurs, des dialogues didactiques déclamés par des acteurs inconnus de l’actors studio, une photo pénible pour les yeux, du cul sans logique, une réalisation de passionné qui a du mal à apprivoiser le matos, une musique d’ascenseur. Du Z français, c’est rare, c’est pour les fans et ça peut avoir des allures communicatives derrière les rires. Un peu de respect.